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Ma matinale du 19 octobre

On ne ment jamais tant qu'avant les élections, pendant la guerre et après la chasse.

Georges Clemenceau

Les bisounours

Pour se dire bonjour, au revoir, je t'aime, adieu, bon vent, bon courage, bonne chance, la bise, le bisou, le baiser, le smack, le bécot, peu importe le doux sobriquet qu'on lui prête, on s'embrasse toutes et tous au cours de notre vie. Mais depuis quand et pourquoi?

À votre santé sociale

Aujourd'hui, le troquet du coin, le bar d'en face ou le café de la place ne sont plus que de lointains souvenirs. Les bistrot de quartier ou de village ont disparu des paysages. En cause, le repli sur soi, l'intrusion de l'actualité au sein de tous les foyer par tous les moyens, l'exode rural, la gentrification urbaine ou la crise économique, toujours est-il qu'un bar qui disparaît, c'est un pan social qui s'effondre. Autant dire que quand un autre ouvre, c'est la fête au village.

Retrouver la mémoire

Lorsque l'homme utilise les réseaux sociaux, c'est comme s'il les épousait: pour le meilleur et pour le pire. Cette internaute a préféré éviter le côté obscur de la force en publiant sur Internet un avis de recherche du propriétaire et photographe amateur dont elle venait de retrouver l'appareil photo perdu depuis 20 ans au pied d'un pic béarnais. Bien lui en a pris.

Des bonbons et la vie

L'on évoque souvent le conflit des générations qui peuvent mettre dos à dos jeunes et aînés. Pourtant, parfois, se tourner vers l'autre, celui qui nous a vu grandir, qui nous a parfois élevé, peut lui sauver la vie. Et avec des bonbons, c'est encore meilleur.

Avoir le nez creux

Obésité et diabète sont souvent liés (l'une touche 17% des adultes, l'autre plus de 3 millions de Français). Mais ce que l'on vient de découvrir pourrait faire avancer la recherche pour la lutte contre ces deux maladies à pas de géants. Grâce à l'odorat.

Quand l’odorat influence l’insuline : une clé pour mieux comprendre l’obésité ?
Chez les souris obèses, le système d'activation de l'insuline via l'odorat ne fonctionne pas. Crwr/Shutterstock, CC BY-NC-SA
Hirac Gurden, Université Paris Cité

À table ! Notre vie est rythmée au quotidien par trois repas journaliers qui apportent l’énergie nécessaire à nos cellules pour leur fonctionnement. Alors qu’elle semble être automatique et facilement régulée au premier abord, la prise alimentaire pendant les repas est régie par des mécanismes cérébraux et corporels complexes et encore méconnus. Pour une régulation harmonieuse du niveau d’énergie, un ensemble de signaux nerveux et hormonaux met en communication dans les deux sens le cerveau et le reste du corps, notamment les organes importants pour la régulation du niveau d’énergie corporelle comme le pancréas, le tissu adipeux, le foie ou les intestins.

Revenons à table, ou plutôt à la dizaine de minutes qui précèdent notre entrée à table ou notre arrivée à la cantine. Quand le corps est en manque d’énergie, typiquement quand nous sommes à jeun avant midi, nous sentons le vide de notre estomac et un attrait pour tous les aliments, surtout ceux chargés en énergie, en sucres et/ou en gras.

Vous Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.

C'est quand le bonheur?

Eh oui. Tout bien à point à qui sait attendre. Et c'est une courbe e U qui le démontre. On ne naît pas heureux, on le devient. Si certains se demandent où est le bonheur, il est plus judicieux de se demander quand il arrive.

@artefr Il paraît que plus on prend de l'âge, plus on se lève de bonheur… #ApprendreSurTikTok #Vieillir #LesIdéesLarges ♬ son original - ARTE

Happiness

Tag(s) : #Matinale
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